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hipparque-blog-de-sarah.com

Devenir l'alchimiste de sa vie, secrets dévoilés pour la réussite.

Jnana-yoga : Questions-réponses sur la découverte du Soi ou de l'Etre Suprême _ Pour les Initiés

La Réincarnation, de Fredananda

Le disciple Anourian :

- Quel est Maître, le meilleur de tous les yogas ?

Le Maître Jivaka :

- Il n'est point de yoga qui soit supérieur à un autre. Chacun choisira celui qui s'adapte le mieux à son propre personnage.

A. - Il y a pourtant une grande différence entre les cinq yogas principaux (hatha, karma,bhakti, jnâna et râja) ?

J. - Si les moyens sont différents, le but est le même.

A. - Comment peut-on alors parler de yoga dans tous les cas ?

J. - Parce qu'ils ont ceci de commun qu'ils tendent à favoriser chez l'élève la faculté de concentration mentale, en vue de la réalisation spirituelle.

A. - Dans quelle mesure peut-on parler de "réincarnation" sur le plan yoguite ?

J. - Dans la mesure où l'on y croit !

A. - Et cela revient à dire ?

J. - Que tout est relatif sur le plan du langage, mais qu'en réalité la réincarnation n'est qu'apparente.

A. - Je ne revivrai donc pas dans un autre personnage ?

J. - Avant de parler d'un autre personnage sachez d'abord qui vous êtes maintenant !

A. - Je suis celui que vous voyez devant vos yeux !

J. -  Vous êtes donc ce corps mortel et ce mental qui réfléchit et me parle à travers vos lèvres !?

A. - Comment en serait-il autrement ?

J. - Que faites-vous de l'âme en tout cela ?

A. - Mon âme correspond à mon mental, à mon esprit ! 

J. - Ainsi vous êtes le corps et l'esprit ?

A. - Parfaitement.

J. - Vous pensez donc que deux opposés se complètent, que le Créateur et la création existent sans la causalité et le Bien et le Mal sans l'esprit ?

A. - L'âme est donc différente de l'esprit ! ?

J. - Elle est non seulement différente, mais elle représente votre "être" propre, le corps et le mental étant mortels.

A. - De toute évidence, je dois en déduire que je suis l'âme immortelle et non ce corps et ce mental dont nous parlions !?

J. -   Absolument.

A. -  Alors, comment pourrais-je souffrir mentalement et physiquement ? 

J. - Parce que vous vous identifiez au corps et au mental !

A. - Il suffit donc de s'identifier à l'âme (au Moi) pour éviter la souffrance et la mort ?

J. - Exactement. Et c'est par la pratique de l'un des yogas que l'on parvient à ce niveau-là.

A. - Mais en fait, qu'est-ce qui prouve l'immortalité de l'âme ?

J. - Son infinité, par opposition à la matière qui est limitée.

A. J'ai peine à imaginer l'Infini, puisque cela me paraît incontrôlable.

J. -Certes, la réalité de l'Infini est matériellement incontrôlable. Mentalement cela devient possible, par le fait même que le mental se situe entre le fini et l'Infini (Le Temps et L'Espace).

A. - Ainsi donc, je dois admettre que la théorie de l'existence de la Trinité est exacte !

J. - C'est un parfait critérium de la Vérité puisque, si l'on admet l'existence de la matière, on doit obligatoirement concevoir l'existence de son opposé, l'âme (sans laquelle elle n'existerait pas; tout comme le Bien est inséparable du Mal) ainsi que l'existence de la causalité qui est représentée par l'esprit dans le cas présent.

A. - Pourquoi, en fin de compte, ne pourrais-je pas être cet individu qui est né et qui doit mourir ?

J. - Par le simple fait que l'âme est indubitablement liée à la matière (au corps), ceci comme nous l'avons vu plus haut, et que le corps revêt un caractère d'irréalité en face de l'Immortalité de l'âme.

A. - Dans les Ecritures yoguisques, il est pourtant souvent question de réincarnation!

J. - Tout chercheur doit forcément évoluer. La réincarnation fait donc partie d'une étape de l'évolution spirituelle. Elle ne peut pas ne pas exister à partir du moment  ou l'individu devient conscient de l'Immortalité de l'âme et de la permanence de la matière. L'âme, libérée d'une forme (du corps) doit logiquement se revêtir d'une nouvelle forme ('un corps nouveau), d'où l'explication des cycles successifs de naissance, vie et mort, à l'infini.

A. - Peut-on considérer la réincarnation sous un autre angle ?

J. - Bien entendu ! On peut considérer la réincarnation comme omniprésente, c'est-à-dire comme inhérente à tous les instants de la vie puisque à chaque instant le corps se modifie (vieillit) et la matière se transforme.

A.- Est-ce que le fait d'affirmer que l'irréel est en soi l'opposé du réel ne constitue-t-il pas une preuve de l'existence de la matière (de l'irréel) et par conséquent la démonstration de l'authenticité de la réincarnation ?

J.  Il s'agit avant tout de faire une distinction entre l'être et l'existence. Tandis que l'être correspond à ce qui est fixe et immuable, l'existence représente ce qui est conditionné et limité, ce qui a une durée (un commencement et une fin). Partant de ce raisonnement, on ne peut donc pas attribuer une quelconque authenticité à la matière et moins encore à la réincarnation.

A. - Il n'y a don aucune raison de parler de la réincarnation ?

J. - A priori non, mais cela fait partie de la recherche spirituelle pour l'obtention de la Connaissance.

Origine de l'Homme

A. - Selon la Bible, Dieu créa La Terre et les Cieux puis le premier couple, Adam et Eve. Comment doit-on comprendre   cela ?

J. - C'est une version de l'Ancien-Testament. Depuis l'arrivée du Christ, une autre vision du Monde a été formulée. Il suffit de consulter le Nouveau-Testament et d'étudier la métaphysique chrétienne. 

A. - Pourquoi l'Eglise ne nous enseigne-t-elle pas ces choses ?

J. - Parce qu'elle s'adapte au niveau intellectuel du peuple. L'Eglise Chrétienne par exemple, n'est autre qu'un reflet de l'ensemble de tous les chrétiens.

A. - Le Christ avait donc une vision exacte de l'origine de l'Homme ?

J. - Absolument.

A. - Et quelle était cette vision ?

J. - La même que celle des grands sages !

A. - C'est-à-dire ?

J. - La vision de l'unité de l'Homme avec Dieu et par conséquent l'inutile pensée de l'origine de l'Homme !

A. - Cela revient à dire que l'Homme est théoriquement l'égal de Dieu !?

J. - Oui, en ce sens qu'il est sa meilleure réplique !

A. - Mais pratiquement, l'Homme est soumis à la naissance, et qu'on le veuille ou non, cela implique l'existence d'une origine ?

J. - La dualité corps-Esprit veut qu'il en soit ainsi; sinon le But serait directement atteint.

A. - La présence de la dualité constitue donc apparemment un obstacle pour la compréhension des choses spirituelles ?

J. - On peut le supposer, mais en réalité il en est tout autrement. L'une des parties de la dualité n'est que le support de l'autre et c'est en atteignant le cœur de cette dernière que l'on atteint la Vérité.

A. - Théoriquement, nous pouvons donc aller très loin. Mais qu'est-ce qui prouve la supériorité de la théorie sur la pratique ?

J. - La théorie est pour l'Esprit ce que la pratique est pour l'énergie corporelle.

A. - Il est donc possible de démontrer l'inexactitude de cette croyance populaire qui soutient l'existence de l'origine de  l'Homme ?

J. - Parfaitement !

A. - Et de quelle manière ?

J. -  En affirmant tout simplement que le mot origine peut être assimilé au mot qui désigne l'objet, et comme nous l'avons déjà vu, c'est un non-sens de lui accorder le moindre caractère d'authenticité.

A. - A ce moment ne pourrions-nous pas ajouter que tous les mots exprimés n'ont en soi aucune espèce de valeur ?

J. - Cette façon de parler peut traduire une finalité de la philosophie qui seule appartient aux véritables initiés. Quant à nous, retournons à nos moutons… Tous les Chemins mènent à Rome !

A. - L'origine de l'Homme a donc son origine dans l'Esprit !

J. - Et l'Esprit a son origine en Dieu.

A. - Comment interpréter la non-origine de Dieu ?

J. - Le MOI est en dehors du Temps. Il est par conséquent non-conditionné, non limité.

A. - Ainsi, l'origine de l'Homme est soumise à un conditionnement ?

J. - Très juste.

A. - S'agit-il d'un conditionnement réel ou imaginaire ?

J. - Trouvez tout d'abord si le réel correspond au présent ou au passé !

A.- Je ne vois pas comment le passé pourrait être moins réel que le présent !?

J. - Abolissez tout ce qui appartient au présent. Que vous reste-t-il ?

A. - Absolument rien !

J. - Et si vous faites abstraction de la notion du passé, êtes-vous encore là ?

A. - Oui, bien sûr !

J. - Ainsi donc, l'origine de l'Homme étant soumise à un conditionnement et ce conditionnement étant relatif au passé, il en résulte forcément que tout cela appartient à l'imaginaire.

A. - L'origine de l'Homme est donc un simple fait de l'imagination, mais l'Homme lui-même a une certaine réalité ! N'est-ce pas là pure contradiction ?

J. - Toute vérité est faite de contradictions.

A. - Que voulez-vous dire ?

J. -  Que la réalité rejoint les apparences et que cela forme un tout inséparable.

A. - Concrètement, pouvez-vous m'exprimer un exemple ?

J. - La notion de Dieu prend forme à travers le corps par la volonté de l'Esprit. Sans l'existence du corps apparent, Dieu serait inconnu. Autrement dit, c'est par la forme que l'Informe prend forme.

A. - Par rapport à ce qui a été dit, sur quel plan se situe donc la réalité de l'Homme ?

J. - Sur le plan spirituel.

A. - Mais le corps est indispensable avez-vous dit !

J. - Il est en effet indispensable en tant qu'instrument (pour aboutir à une définition quelconque). Cependant, aucune définition, aussi prééminente soit-elle, n'a de valeur absolue.

A. - Voulez-vous dire que toute forme de langage a une valeur limitée ?

J. - Absolument !

A. - Dans cette optique, la Vérité ne peut pas faire partie du langage ?

J. - Le langage est en effet un moyen et non une fin en soi. Il doit être un jour dépassé.

A. - Comment cela est-il possible ?

J. -  En observant le silence !

A. - Je ne vois pas le rapport entre la Vérité et le silence ?

J. - C'est une question d'identité. Le silence est en fait l'expression positive de la Vérité, c'est pourquoi, par exemple, les Saintes Ecritures nous enseignent : "La Parole est d'argent et le Silence est d'or".

A. -  D'une part, nous connaissons tous l'origine de l'auteur de ce proverbe (Inspiré du Christ) et d'autre part, nous devons constater que cela n'a pas modifié le cours des choses, puisque le Silence n'a pas été observé depuis !?

J. - C'est exact, mais cela ne signifie rien d'autre que Christ reste ce qu'Il est et que son enseignement ne profitera qu'à ceux qui le mettront en pratique.

A. - Vous ne m'avez point donné de réponse au sujet de l'origine reconnue du Christ ?

J. - Ma réponse a déjà été formulée au sujet de l'origine de l'Homme.

A. - Comment pouvez-vous assimiler le Christ à l'Homme !?

J. - N'était-il pas le Fils de Dieu ? Et s'Il était divin par surcroît, ne serait-il pas vain de tergiverser pour essayer de lui attribuer une origine ?

La Pensée

A. - Parmi toutes les manifestations humaines, la pensée figure-t-elle sur un plan supérieur ?

J. - Evidemment, mais encore faut-il pour cela que la pensée soit pure et libre.

A. - Qu'entendez-vous exactement par pensée "pure et libre" ?

J. - Avant tout celle qui va au-delà des conventions traditionnelles et dont la tendance s'accommode aux valeurs spirituelles.

A. - Voulez-vous fournir un exemple-type de ce que peut être une pensée somme toute anti-conventionnelle ?

J. - Penser "Je suis au-delà du corps".

A. - Cela représente en quelque sorte une approche théorique de la Liberté !

J. - A moins que ce soit déjà, pour le Sage, le reflet d'une conviction absolue.

A. - Autrement dit, la pensée représente tout; elle est maîtresse !

J. - La pensée a sa valeur intrinsèque (dont nous avons déjà examiné le niveau). Cependant, elle ne fait que précéder l'état extatique chez l'être humain, c'est-à-dire l'état de détachement complet des choses de ce Monde.

A. - Je suppose qu'un être parvenu dans cet état n'est cependant pas, vu sa condition humaine existentielle, libéré totalement de la pensée ?

J. - Celui qui se trouve dans un état de détachement complet reste, au besoin, disponible pour penser, ceci sans pour autant que sa condition particulière en soit affectée.

A. - Ainsi donc, la pensée n'est pas vraiment indispensable pour la continuation de la vie !?

J. - Comme vous le dites !

A. - Alors, sans la pensée, comment savoir se diriger et prendre des décisions ?

J. - Quiconque fait l'expérience de l'état extatique n'a pas à prendre de décisions. La pensée (comme indiqué plus haut) peut suivre son cours sur sollicitation, mais elle demeure dans ce cas, pour l'intéressé, un phénomène exclusivement extérieur. C'est ce que l'on pourrait appeler littéralement "penser sans penser".

A. - J'imagine que notre yogi "mangera également sans manger" et "travaillera sans travailler" ?

J. - En effet, l'état de concentration est si profond chez l'extasié, qu'il n'a plus aucune place dans son esprit pour la vision des choses matérielles.

A. - Pourtant on ne peut nier la participation active de la pensée dans l'aboutissement d'un tel cas !

J. - C'est justement la raison pour laquelle, comme nous le disions précédemment, la pensée est par excellence la manifestation prépondérante de l'Homme.

A. - En ce qui concerne la pensée spirituelle, comment doit-on la diriger pour atteindre le détachement ?

J. - Dans la voie de la Prière, dans celle de la Dévotion ou encore dans celle de la Métaphysique.

A. - L'aboutissement à la spiritualité dépend-t-il uniquement de la sincérité et de l'intensité de la pensée ?

J. - Indiscutablement. Mais il y a également le facteur temps qui joue un grand rôle. Nul ne saurait aboutir dans l'immédiat.

A. - La pensée des Grands Maîtres est-elle équivalente ?

J. - Absolument ! Christ, Mahomet, Bouddha et Krishna ont enseigné la même Vérité.

A. - J'ai peine à vous suivre …

J. - En examinant de plus près la doctrine des quatre grandes religions, on s'aperçoit que la notion de l'UNITE se situe invariablement au niveau de leur finalité.

A. - Cette notion de l'UNITE dépasse, me semble-t-il, le fait de la pensée… Ou, de l'Unité. Se dégage-t-il une forme de pensée subtile ?

J. - L'UNITE, comme son nom l'indique, contraste avec la diversité. Par conséquent la dualité disparaît au niveau de l'UNITE, et la pensée, si subtile soit-elle, ne saurait y trouver place.

A. - Voulez-vous dire que la Pensée Divine Elle-même n'échappe pas à cette règle !?

J. - C'est évident !

A. - Mais cela m'apparaît comme étrangement paradoxal ! La Volonté Divine, essence même de la Pensée, serait ainsi abolie !?

J. - Aucunement. C'est seulement le reflet d'une déduction métaphysique qui fait songer à cette issue. En réalité, tant que l'UNITE n'as pas été réalisée universellement, la Pensée s'inscrit sur le plan causal entre la dualité et l'Absolu.

A. - De la façon dont vous vous exprimez, faut-il traduire que la Pensée est UNE ?

J. - Eternellement !

A. - La Pensée a donc toujours existé et elle existera toujours ?

J. - Oui, en tant que partie intégrante de la Trinité. C'est un fait subordonné à la Réalité.

A. - Est-il possible de prévoir à quelle date ou époque nous pourrons assister à la réalisation de l'UNITE universelle ?

J. - Tout simplement à l'instant de votre propre réalisation !

A. - Et mes semblables que deviendront-ils ?

J. - Parvenu au moi suprême, vous ne vous poserez plus cette question. Tout sera parfait.

A. - La pensée aura donc disparu de mon esprit ?

J. - Comme nous l'avons déjà vu, toutes choses sont extérieures au MOI. Elles subsistent en tant que telles en qualité de "projection" du MOI. La pensée correspond par conséquent à ce qu'il y a de plus subtil dans cette projection éternelle. La pensée apparaît et disparaît tandis que le MOI suprême reste immuable.

A. - N'est-ce pas la pensée qui contribue à valoriser le MOI ?

J. - Sur le plan humain cela apparaît comme indéniable. Cependant il n'en reste pas moins que le MOI est le promoteur de la pensée et que celle-ci lui est redevable de sa fonction.

A. - Ainsi donc, à partir du non-objet, du MOI, il y a projection temporaire de la pensée ! Alors, comment expliquer ce phénomène extraordinaire ?

J. - Il faut tout d'abord comprendre que cela n'a rien d'extraordinaire ! Ensuite, l'esprit clair et dégagé de tous préjugés, portons notre attention sur la réalité du MOI. Il représente l'Ame, l'un inconditionné, l'Absolu. Par opposition, nous trouvons le corps, la diversité conditionnée, le relatif. Cela étant, l'existence de la causalité apparaît normalement au niveau de l'Esprit, dispensateur de la pensée. Ainsi, en conclusion, il est aisé d'admettre que la pensée, tributaire de l'Esprit, lui-même conditionné par la présence du MOI, n'a qu'une valeur relative en soi et qu'elle est par conséquent le fruit naturel et occasionnel de l'Esprit.

A. - Cette définition à la fois simple et complexe ne contient pas, en vérité, la motivation de l'existence de la pensée ?

J. - Il est en effet possible d'ajouter que l'existence de la pensée résulte primordialement du fait qu'elle est pratiquement indispensable comme telle puisque sa disparition totale équivaudrait (en dépassant la notion même de non-pensée) à la suppression de toutes choses pour aboutir au Néant.

A. - Certains bouddhistes affirment cependant que le terme "Néant" correspond en fait à la plus exacte définition de l'ultime Vérité…

J. - Toute affirmation suppose une pensée préalable et toute pensée suppose une existence !

A. - Il y a donc une grande divergence d'opinions entre le yoga et le bouddhisme !

J. - Apparemment oui. Mais en réalité leurs doctrines se rejoignent au niveau de la finalité. Tandis que la pensée perd toute signification sur le plan bouddhique, elle est considérée comme salvatrice sur la plan yoguique dans la recherche du MOI.

A. - En définitive, quelle est la voie la plus directe pour l'atteinte à la Connaissance ?

J. - C'est incontestablement la voie du Jnâna-yoga (étude de la métaphysique). Cependant, très rares sont ceux qui parviennent au But par la compréhension de la plus haute philosophie.

Texte écrit par Fredananda, mise en page par Sarah B.

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